dimanche 8 février 2009

La ville infernale POUR VOIR LE FILM!

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La ville infernale LE FILM!

La ville est faite d’une infinité de réseaux plus ou moins utiles et visibles par les citadins. Les conduits d’aérations font justement partis de ces labyrinthes physiquement inexploités par l’homme, bien qu’ils soient présents tout autour de nous dans la ville.
Cette idée a été très largement utilisée dans l’imaginaire des cinéastes hollywoodiens, on en retrouve en effet son utilisation dans tous les grands films d’actions. Nous avons voulu réutiliser cette idée d’architecture au sein de l’architecture. Et si la ville se limitait à une succession de conduits d’aérations, un réseau interminable dans lequel on serait perdu, paniqué, dans une fuite constante d’une réalité angoissante et pourtant à la recherche d’un échappatoire? C’est donc à partir de cette première idée que nous nous sommes lancés dans une recherche effréné de références cinématographiques : c’est un raz de marrée de films de toutes qualités et de toutes époques qui nous ont inondés…ces extraits nous ont servis de banque de données et de bases pour notre vidéo.
Dans les nombreuses façons de traiter le sujet que nous avons trouvés, celle qui se rapprochent de la satire du film d’action a été retenue. Nous nous appuyons donc sur des extraits sélectionnés pour leur montage et leur bande son. L’idée étant de produire un court métrage dans lequel on serait le héros (vision subjective), qui ne cesserait de fuir dans un tuyau: la micro architecture du conduit du film hollywoodien devient ici l’architecture et le sujet principal du film. Le héros est alors constamment poursuivi et complètement apeuré. Sa seule issue réside dans une fuite infinie.
Fuir, fuir, fuir mais par où ? Un conduit étroit et sinistre, habituellement habité par la vermine et la saleté s’offre a vous (à lui), mais heureusement, une équipe technique est passée par là pour rendre ce passage étincelant et accueillant, dans lequel se déroule hollywoodiennement parlant, une scène incontournable.
Mais voilà, ici le personnage est déjà coincé à l’intérieur et veut s'en sortir. Pour cela il doit se frayer un chemin qui parait interminable dans une ambiance effrayante, qui le mènera à des salles. Mauvaises surprises, ces pièces sont habitées par des gens, tous ce qu’il y a de plus ordinaire, qui sont interpellés par l’intrusion du héros. Sont-ils hostiles ? le héros ne veut pas le savoir et préfère la fuite, qui se poursuit dans un autre conduit…mais à nouveau veut-il fuir le conduit où ce qu’il y a à l’extérieur ?
Le problème, c’est qu’il n’y a pas d’extérieur…nous sommes perpétuellement plongé dans des univers de fiction et de réalité qui s'entremêlent les uns les autres et qui finalement nous font perdre nos repères.
...Les mecs de la rue de derrière...